Binks Neobanque du futur, qui imite l'Apple Card.
Binks est une entreprise agréée et autorisée par la Financial Conduct Authority (FCA) en vertu de l'Electronic Money Regulations 2011 sous le numéro d’agrément 902795 en tant qu’agent enregistré auprès de PayrNet Limited lui même autorisé pour l'émission d'argent électronique et d'instruments de paiement. La carte bancaire de débit Binks est distribuée par Nitecrest sous licence Visa International.
Le site Internet et application (Android ou Apple) sont complètement en Français.
Pour les tarifs voici une description :
Inscription en 5 minutes.
Une fois approuvée vous pouvez utiliser votre carte virtuelle immédiatement et recevez votre carte physique en 3-5 jours ouvrés.
Les numéros n’apparaissent pas sur la carte physique.
7,99€ par mois débités depuis votre compte Binks .
Compte GB gratuit
Limite de paiement jusqu’a 100 000€
Zéro frais sur tous les paiements dans le monde entier
Pas de frais de retrait jusqu’à 500€ par mois
Assistance prioritaire
Livraison express mondiale
Sans engagement
BINKS à mis en place un programme de parrainage vous permettant de gagner 2€ par mois par ami inscrit grâce à votre code de parrainage, sans durée limitée dans le temps.
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Binks Neobanque du futur, qui imite l'Apple Card, c'est la banque qui va révolutionner les banques en ligne,
Plus vous parrainez et plus vous gagnez, c’est facile et illimité !
Je recommande.
Site passé en statut fermé
l'URL aboutit sur une page d'erreur ; le nom de domaine a été vendu
Article "mise en garde" de BFM TV
Je recopie l'article ci dessous :
Peut-on faire confiance à Binks, la "néobanque" qui imite l'Apple Card?
26/02/2020 à 14h38
Depuis plusieurs semaines, une jeune “néobanque” française figure parmi les plus téléchargées sur l’App Store. Baptisée "Binks", elle reprend en grande partie les codes de l’Apple Card, disponible aux Etats-Unis. Non sans soulever quelques questions.
Elle est la première application qui s’affiche lorsqu’on recherche les termes “banque en ligne” sur l’App Store d’Apple (hors contenu sponsorisé ) , et se présente comme “#1 Banque en ligne”. Depuis la fin de l’année 2019, l’application de la “néobanque” Binks accumule plus de 3.000 notes positives, bien qu’elle ne propose à ce jour aucun service fonctionnel. Elle figure par ailleurs parmi les trente applications les plus téléchargées dans la catégorie banque/finance, devant Ma French Bank (La Banque postale) ou Hello bank! (BNP Paribas)
Pour profiter de sa future carte (facturée 7,99 euros par mois) au design très inspiré de celui de l’Apple Card - non disponible en France, il faut s’inscrire sur une longue liste d’attente, regroupant près de 40.000 comptes en attente. Mais certaines zones d’ombre subsistent sur le sérieux de cette jeune entreprise.
En parcourant le site officiel de Binks, la ressemblance avec le site officiel de l’Apple Card est frappante. Les illustrations reprennent à l’identique celles de l’entreprise californienne, ainsi que certains textes, semblant être de simples traductions de ceux écrits par Apple. "Même Apple ne sait pas ce que vous avez acheté. Ni où. Ni combien vous avez dépensé. Chez Apple, nous croyons fermement au respect de la vie privée" indique la page dédiée à l’Apple Card. Une promesse quasiment identique, reprenant les mêmes codes visuels, est affichée sur le site de Binks.
Cette inspiration - qui semble aussi concerner l’application de Binks - est revendiquée par Elias Chetouani, fondateur de Binks. "C’est complètement assumé. Nous voulons proposer une expérience qui se rapproche de celle de l’Apple Card. Nous avons remarqué que de nombreuses personnes aimaient le style de ce produit", explique-t-il à BFM Tech.
Sur le site de Binks, la carte reprend l’allure de celle d’Apple, sans aucune suite de chiffres ni logo apparent. Un design théoriquement interdit par Visa.
"Comme Apple, nous avons obtenu une dérogation", assure Elias Chetouani. La carte intègre une puce identique à celle du produit Apple, pourtant breveté. "Le visuel n’est pas celui de la carte qui sera envoyée aux clients", concède celui qui se présente comme "un serial entrepreneur".
Pas d’agrément français
Un mot est cependant absent sur site de Binks: "banque". Et pour cause, l’entreprise n’a aucun agrément bancaire en France. Comme le confirme l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution - le "gendarme" des banques et assurances - à BFM Tech, Binks est en réalité l’agent d’un prestataire de service de paiement installé au Royaume Uni et dénommé PayrNet Limited.
Toujours sur son site, Binks assure que les fonds de ses clients sont "protégés quelque soit le montant." Une promesse permise grâce à la protection du Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR), assure Elias Chetouani à BFM Tech, évoquant le fait que son prestataire britannique fasse partie de “l’Europe”. Oubliant au passage la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne le 31 janvier dernier.
Au 14 février 2020, Binks ne figure pas sur la liste des adhérents au FGDR, organisme d’intérêt général créé en 1999 dans le but de protéger les clients des banques en cas de défaillance.
Une précédente version du site de Binks (et de sa fiche sur l'App Store) évoquait une garantie "jusqu’à un million d’euros" assurée via un cantonnement de fonds auprès de Crédit Mutuel Arkéa. Ce qui a aussitôt été démenti par l’entreprise concernée.
Auprès de BFM Tech, le fondateur de Binks ne s’explique pas la nuée de commentaires positifs d’internautes sur l’App Store, alors que le service doit d’après lui être lancé en avril. D’autant plus qu’à première vue, il semble en grande partie identique à ce que peuvent proposer des concurrents comme Revolut ou N26. Il ne souhaite pas non plus commenter l’appellation “#1 Banque en ligne”, qui entre en contradiction avec la réalité du service promis (qui n’est ni “premier”, ni une banque).
Contacté par BFM Tech, le youtubeur Cédric BK explique cette accumulation de bonnes notes par des promesses faites aux utilisateurs de remonter dans la liste d’attente en échange de cinq étoiles - une pratique formellement interdite par Apple. Il précise avoir prévu un partenariat avec Binks, avant de se rétracter en raison de ses doutes quant à la fiabilité de l’entreprise. Il affirme par ailleurs avoir dû supprimer une vidéo et des tweets évoquant Binks après plusieurs menaces reçues de la part du fondateur de la plateforme.
A ce jour, Binks est immatriculée sur l’avenue des Champs-Élysées, à une adresse liée à un prestataire spécialisé dans la domiciliation d’entreprise. Elias Chetouani assure cependant que son équipée est constituée de six personnes, chargées de la programmation informatique, du marketing et de l’application du droit bancaire.
Contacté par BFM Tech, Visa n'a pas confirmé ou démenti la dérogation accordée à Binks. L'article sera mis à jour dès réception de leur réponse.
Raphaël GRABLY
Chef de service
https://www.bfmtv.com/tech/peut-on-faire-confiance-a-binks-la-neobanque-qui-imite-l-apple-card-1864415.html
Avec l'afflux de "neobanques" on voit apparaitre hélàs pas mal de solutions de paiements + ou - bancales qui se font passer pour des banques : Il faut donc être attentif !
Il y avait lieu de se méfier en effet. La société n'existe plus
Beaucoup de flou, espérons qu'il n'y a pas de loup...
- il s'agit d'une entreprise de programmation informatique très récente créée en septembre 2019, avec un capital de 1000€, avec comme objet "Objet : Développement d’application pour smartphone", par M. Elias CHETOUANI, né en 1993
- elle revendique une adresse prestigieuse comme siège social (34 avenue des Champs-Élysées, 75008 Paris ). Mais il s'agit en fait d'une adresse "boite aux lettres" ; pour 57€ par mois, n'importe quelle société peut se faire domicilier à cette adresse, via une société spécialisée en domiciliation d'entreprises. Il y a d'ailleurs plus de 110 entreprises à cette adresse
https://www.domiciliationenligne.fr/domiciliation-fiscale-sociale-entreprise/domiciliation-entreprise/34-avenue-des-champs-elysees-75008-paris/
- L'entreprise est française, mais n'a aucun agrément bancaire en France... Elle revendique sur son site un " enregistrement en tant qu’agent bancaire auprès du Financial Conduct Authority (FCA)", organisme anglais. Les fonds déposés par les clients français ne seront donc pas protégés par le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR)
Le site présente des slogans marketing accrocheurs, et un système de parrainage attractif qui du coup motive ses membres à recruter...
Personnellement, j'attendrais d'avoir plus d'éléments sur sa fiabilité et son sérieux avant de leur confier mes données perso et bancaires, et mon argent.
Sans compter qu'il faut payer 7,99€ par mois pour avoir la carte, alors que de nombreuses banques reconnues proposent une CB gratuite